Notre charisme nous oriente vers l’éducation, la formation catéchétique des jeunes et des adultes ainsi que la célébration de la foi par la liturgie.
La mission des Viateurs s’articule autour de l’éducation : formation humaine, intellectuelle et spirituelle.
Nos actions éducatives et nos engagements pastoraux auprès des jeunes ou des adultes privilégient l’accompagnement des personnes.
C’est dans la joie que nous avons souligné les cinquante ans de vie religieuse chez les Clercs de Saint-Viateur du P. Pierre Francoeur.
La célébration nous a permis de plonger au cœur de ce qu’a été et est le P. Francoeur, serviteur de la Parole, amoureux de la vie, un homme imprégné de la spiritualité de la petite Thérèse, sainte Thérèse de Lisieux.
Quelques traits de la personnalité de Jean-Louis présentés tout au long de cette célébration sont tirés de l’éloge rendu à notre frère à son 50e anniversaire de profession religieuse, un éloge qui cernait bien l’homme, le frère, l’éducateur.
Les textes de la Parole choisis aujourd’hui nous parlent de Dieu, mais aussi du fils de Dieu qu’a été tout au long de sa vie notre frère Jean-Louis. Il a été un religieux discret, mais aussi très chaleureux dans ses contacts avec les élèves, ses collègues et ses confrères… et j’imagine les membres de sa famille. Nous pourrions parler longtemps de toute l’attention portée à nos frères malades et nos frères âgés quand il a été responsable de ce dossier dans la communauté.
La Parole de Dieu. Saint Paul. Serviteur de la Parole… Trois mots qui disent beaucoup de l’homme, du religieux, du pasteur qu’a été le P. Léonard Audet.
Toute sa vie, il s’est consacré à porter la parole, une parole qui appelait à la fraternité, à la communion, à une relation intime avec notre Créateur, le Dieu de la vie qu’il a aimé servir en toute simplicité.
Les 11 et 13 janvier, l’archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine, a remis des mérites à des personnes et à des groupes qui œuvrent au service de l’Église et de l’annonce de l’Évangile.
C’est ainsi que le Carrefour Foi et Spiritualité a reçu cet hommage.
Le 19 janvier 2024, le SPV soulignera ses 60 ans d’existence.
De l’humble garage de la rue Stirling, le SPV est maintenant présent dans dix pays d’Amérique (Nord, Centrale, Sud) et d’Afrique.
Près de 75 groupes continuent de vivre debout avec l’idéal des premiers chrétiens (Actes des Apôtres 2,42-47).
Le samedi 13 janvier dernier à l’église St-Pie X de Laval, M. André Lachambre recevait la médaille du Mérite diocésain Monseigneur Ignace-Bourget.
Cette reconnaissance a trois objectifs :
Stimuler la créativité pastorale;
Souligner l’importance de la contribution d’un organisme ou d’une personne à la transformation du monde;
Encourager l’implication des diocésains dans l’une ou l’autre dimension de la communauté chrétienne et civile.
Le Père Boisvert n’était pas seulement un prêtre; il était un phare de lumière, une source d’inspiration et un pilier de foi inébranlable.
Pendant près de cinq décennies, il a été la force directrice derrière le voyage spirituel de tant d’hommes et de femmes au Japon, les guidant d’une main douce, avec un cœur compatissant et un engagement inébranlable envers les enseignements du Christ.
Écoutons la vision éducatrice du bon P. Louis. « Je pense que si on peut permettre aux jeunes que leur capacité d’émerveillement puisse traverser la période difficile de l’adolescence jusqu’à l’âge adulte, c’est le plus beau et le plus grand service qu’on peut leur rendre. Car alors, tout peut arriver puisqu’ils seront capables de vibrer et de s’émerveiller devant tout ce qui est grand, noble et beau. Alors on pourra voir s’épanouir un Mozart, un peintre, un poète, un Einstein, un Pierre Dansereau, un François d’Assise, une mère Teresa… »
Notre amour doit avoir des oreilles pour entendre et comprendre les cris de notre monde. Il doit avoir des yeux pour regarder la vie s’animer et danser autour de nous. Il doit sentir l’odeur de notre terre appelant à des semences de paix et d’humanité. Il doit avoir goût de tendresse et de compassion. Il doit se donner des pieds et des mains pour aller là où la vie se crée et où l’avenir se construit.
Le parcours terrestre du père André Venne et son engagement comme religieux Clerc de Saint-Viateur ont été guidés par ce projet dont le Seigneur est la source et l’âme.
La nouvelle du décès d’Yves ne m’a pas surpris outre mesure, mais honnêtement, elle m’a causé un grand chagrin. La perte de personnes qui ont été des phares, des mentors dans notre vie et le laisser-aller de grands amis créent de profondes blessures dans notre humanité, dans notre foi solide et fragile à la fois.
La mort de personnes chères laisse toujours une marque qui crée de la solitude. Et cette solitude, n’est-elle pas le berceau de la vie, à ses premières et
dernières heures ?
