Cette fondation sur le continent africain est la réponse donnée par les Viateurs canadiens à l’invitation pressante du pape Jean-Paul II aux communautés : assurer une nouvelle présence religieuse dans les milieux d’éducation des pays en voie de développement.
Elle s’inscrit aussi dans la volonté de soutenir l’effort de l’Église locale, désireuse d’investir dans l’éducation et de redéployer l’enseignement catholique en ce pays.
Du 22 août au 9 septembre, le Supérieur provincial, accompagné de l’économe provincial, a fait la visite pastorale de la fondation du Burkina Faso.
Le programme était bien chargé pour bien percevoir le vécu de la Fondation, célébrer la vie viatorienne et entendre les défis d’avenir.
C’est un baume pour notre coeur quand l’inquiétude semble parfois l’emporter sur la joie et l’espérance.
Merci à tous nos frères et soeurs du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire pour leur accueil, leur bonne humeur et leur confiance dans l’avenir.
Nous apprécions leur dévouement au service de la Parole, des jeunes et des pauvres.
Que le Seigneur bénisse leurs communautés.
Les œuvres viatoriennes se distinguent par leur quête de l’excellence dans tous les domaines.
Cette quête se manifeste par le sérieux dans l’éducation intégrale des jeunes dont nous avons la charge, mais aussi par les encouragements sous forme de distinctions et de prix, ou de sortie d’excellence que nous offrons aux plus méritants de nos élèves.
De cet événement spirituel, ecclésial et mondial, j’ai vu et j’ai expérimenté la puissance de la foi, la foi comme une flamme capable de brûler les résistances, les peurs, les enfermements, de nous sortir de nous-mêmes pour laisser germer l’amour et la générosité, l’unité et la fraternité universelle malgré nos différences, pour nous redonner notre liberté.
Cette année encore et pour la 15e fois, les jeunes de la capitale et des villes environnantes se sont rencontrés au monastère bénédictin de Koubri (25 km de Ouagadougou) pour les deux camps de l’Avenir. Les tout-petits (7-12 ans) se sont retrouvés du 18 au 23 juillet.
Arrivés le lundi 18 autour de 11 h 30, les 54 campeurs (garçons et filles) ont été accompagnés par une musique de fanfare dans l’enceinte du site d’accueil.
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Au Groupe scolaire Saint-Viateur de Ouagadougou, les élèves de la maternelle (petite, moyenne et grande section) sont partis officiellement en vacances ce samedi 4 juin 2016. C’était à travers une cérémonie de clôture durant laquelle les enfants se sont exprimés sur le plan artistique, par des chants, des récitations, etc.
Le Centre de formation professionnelle Louis Querbes (C.F.P.) a été retenu comme un centre pilote par un organisme communautaire en Allemagne appelé GIZ/PDDAA/EFTPA-Burkina œuvrant dans le domaine de l’Agriculture et de l’Élevage dans la Région des Cascades.
La vie dans la mission viatorienne au Burkina Faso réfère à un bel horizon. La Fondation est en pleine vitalité. À l’instar du Baobab qui s’incruste fermement dans la terre africaine, les Viateurs enracinent avec fierté le charisme viatorien dans ce pays, convaincus que notre mission est plus que pertinente pour l’avenir du Burkina Faso.
Une image me remonte à l’esprit : le Baobab. J’observe cet arbre au tronc imposant dans la cour de la communauté Louis-Querbes à Ouagadougou. Notre communauté, malgré les défis de l’époque, avait osé implanter l’arbre viatorien qui est devenu ce qu’il représente aujourd’hui : une communauté en plein développement.
Le frère Jocelyn Dubeau vient de terminer son mandat comme secrétaire du comité directeur 2013-2016 et le père Macaire Sandouidi vient d’être élu Président du consortium pour les trois prochaines années, 2016-2019. Mater Christi est né du besoin ressenti d’une meilleure formation à la Vie Consacrée en Afrique de l’Ouest.
