Bulletins d’informations, revues, homélies, communiqués… témoins du dynamisme de la vie viatorienne.
Le Père Boisvert n’était pas seulement un prêtre; il était un phare de lumière, une source d’inspiration et un pilier de foi inébranlable.
Pendant près de cinq décennies, il a été la force directrice derrière le voyage spirituel de tant d’hommes et de femmes au Japon, les guidant d’une main douce, avec un cœur compatissant et un engagement inébranlable envers les enseignements du Christ.
Le psalmiste nous interpelle comme Viateurs et nous incite à nous regarder pour évaluer nos forces et nos faiblesses. Le refus d’accepter une phase d’accomplissement pour l’apprivoiser et la sublimer crée une distorsion entre ce qui se vit au quotidien et ce qui n’est qu’idéalisation et utopie. Il nous faut secouer toute force d’inertie qui nous paralyse, mais aussi nous conformer aux limites que nous imposent nos conditions actuelles d’existence. Il nous faut avancer en étant immunisés contre tout excès et tout biais pouvant occasionner angoisse et désillusion.
Écoutons la vision éducatrice du bon P. Louis. « Je pense que si on peut permettre aux jeunes que leur capacité d’émerveillement puisse traverser la période difficile de l’adolescence jusqu’à l’âge adulte, c’est le plus beau et le plus grand service qu’on peut leur rendre. Car alors, tout peut arriver puisqu’ils seront capables de vibrer et de s’émerveiller devant tout ce qui est grand, noble et beau. Alors on pourra voir s’épanouir un Mozart, un peintre, un poète, un Einstein, un Pierre Dansereau, un François d’Assise, une mère Teresa… »
Viateur a su répondre à un besoin de son temps en consacrant sa jeunesse et ses talents au service de ses frères et sœurs. Puisse-t-il encore nous inspirer et nous donner la joie de poursuivre la mission d’annoncer Jésus-Christ et son évangile aujourd’hui.
Bonne fête de saint Viateur à chacun et chacune de vous!
L’avenir de notre communauté s’écrira avec ce qu’il reste de force de foi et d’espérance, de rêves et d’intuitions réalistes.
Il se construira par notre volonté à être dans nos milieux des signes de lumière, de vie et d’amour.
Du 23 mai au 3 juin, le Supérieur provincial a séjourné au Japon. L’économe provincial l’a accompagné pour une partie du séjour. Cette visite a permis de jeter les bases de l’avenir de la mission viatorienne au Japon en clarifiant certains éléments et en poursuivant des démarches enclenchées il y a quelques mois déjà.
Le Supérieur provincial et l’économe provincial ont visité la communauté du Pérou du 21 au 27 juin. Ils ont pu sonder le fond de la vie viatorienne, constater l’état de la situation, projeter des pistes pour un avenir certain.
Le 25 mai dernier se tenait le lancement du livre. Le P. Gérard Bernatchez a prononcé un mot au nom du conseil provincial. Vous en trouvez l’essentiel ici.
Le bulletin Présence.Info.Ca (édition du 17 juin), par le truchement de Louis Cornellier, présente une très belle critique de cet ouvrage. M. Cornellier est écrivain, collaborateur au Devoir et enseignant au Cégep de Lanaudière (campus de Joliette).
Une poignée de main pour nous dire que nous appartenons à une même famille, que nous marchons dans la même direction.
Une poignée de main pour nous soutenir mutuellement et nous redire que chacun est important.
Une poignée de main pour briser le cycle de la peur, du découragement et de l’inquiétude face à l’avenir.
Après trois ans de travail acharné, nous avons réussi à recueillir 2,8 millions de dollars NT (125 000 $ CAN environ) pour faire l’acquisition d’une unité mobile de prélèvement et collecte de sang qui sera remise au Centre de collecte de sang de Taichung, le 14 juin 2023.
Cette unité mobile sera nommée : « Esprit de frère Pierre Charbonneau » afin de perpétuer l’esprit du Frère Pierre Charbonneau affectueusement appelé Shi Bonan.
Les personnes de la direction de la Maison de la Foi ont édité deux biographies de personnes sourdes : celle de Teresa Kelly, associée à la communauté de même que celle de Marie-Paule Gagné.
Les deux ont été partie prenante de l’œuvre depuis ses débuts. Marie-Paule faisait partie de la communauté de base et demeurait à la résidence des Érables, lieu de l’œuvre de la Maison de la Foi.
