cœur

Au-delà de la démesure

Au-delà de la démesure

Avec des mots simples et justes, il nous fait plonger, à travers ces poèmes, au cœur de l’essentiel et de l’universel. Pour lui, chaque mot compte et pèse son poids d’invisible.

« Il n’y a que la poésie pour donner aux mots la transparence de l’âme, pour rendre aux choses le souffle du mystère, pour faire pencher le cœur du côté de la lumière et ouvrir à l’ange de la nuit qui frappe à la fenêtre… » (René Pageau)

Déconfinons notre cœur !

Déconfinons notre cœur !

La reprise d’une vie normale où nous pouvons nous adonner à des activités qui nous sortent totalement du cadre du confinement doit encore attendre.

C’est là que nous devons nous interroger sur la façon dont nous pouvons rester sur nos deux pieds et continuer à nous donner.

Il nous faut déconfiner notre cœur pour le laisser respirer l’air de l’amour, de la tendresse et du par-don (un don par-dessus les blessures, les souffrances et la haine).

Jusqu’où le suivrons-nous?

Pour nous, Viateurs, qui nous engageons avec Jésus, jusqu’où le suivrons-nous sur ce chemin de vérité, d’amour et de liberté?

Jusqu’où sommes-nous prêts à dépasser nos catégories humaines pour adopter celles de Dieu « qui voit dans le secret de notre cœur »? Mt 6.

Jusqu’où sommes-nous disposés à nous rendre sur ce long chemin de Jérusalem?

Le temps est venu de déposer nos lourds manteaux d’hiver pour avancer plus facilement sur la route conduisant au ressuscité de Pâques.

Bonne poursuite en direction de Pâques!

Hommage – Funérailles du Frère Paul André-Hébert, c.s.v.

Hommage – Funérailles du Frère Paul André-Hébert, c.s.v.

Quel souvenir garderons-nous de Paul-André? Un confrère qui suivait l’évolution de la famille des Viateurs tout en demeurant très attaché aux siens…

Un homme de cœur, d’une grande sensibilité, un homme de service encore en devoir à 81 ans qui sentait d’une façon évidente venir la fin. Il nous disait en souriant : « j’achève! »

Que son âme repose dans la paix auprès de celui qui lui a dit un jour : « Si tu veux, viens suis-moi. » C’est alors qu’il a répondu : « Me voici! » Oui, enfin me voici, c’est ce qu’il aurait dit en fixant le regard de Dieu qui est tout amour et miséricorde.

Bon été !

Bon été !

Qui vit de Dieu choisit d’aimer. Et un cœur décidé à aimer peut rayonner avec bonté sans limites. Pour qui cherche à aimer dans la confiance, la vie s’emplit d’une beauté sereine.

Qui choisit d’aimer et de le dire par sa vie est amené à s’interroger sur l’une des questions les plus fortes qui soient : comment soulager les peines et les tourments de ceux qui sont proches ou lointains?