Bulletins d’informations, revues, homélies, communiqués… témoins du dynamisme de la vie viatorienne.
Léandre a été un éducateur de tous les instants avec les jeunes et les petits, les aimés de Dieu.
En tout temps, il savait nous inviter à voir le beau de la vie, le merveilleux de la communion, le grand de la foi engagée à vivre debout en femmes et hommes porteurs de la dignité des filles et fils de Dieu que nous sommes tous.
Généreux de son temps et de ses efforts, simple d’approche quoiqu’un peu distant et souvent difficile à décoder dans ses opinions, travaillant sans bruit, mais inlassablement.
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Mais au total, il aura été par ailleurs d’un grand secours pour les jeunes confiés à ses bons soins, dévoué, imaginatif, créatif même dans ses méthodes d’enseignement et d’éducation. Et il aura été une personne désireuse de servir ses frères et la mission viatorienne.
Ceux qui ont connu Luc-Émile d’un peu près ne sont certainement pas étonnés du choix des lectures qui accompagnent la présente célébration, car c’est dans le quotidien qu’il excellait, notre confrère, timide par moment, mais jovial, humain, généreux, sportif invétéré et amateur de taquineries.
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Le passage parmi nous de Luc-Émile a été un véritable don de Dieu offert à la sainte Église et à la communauté. Grand merci au Seigneur de nous l’avoir donné.
L’arrivée du Concile Vatican II apporte bien des changements dans les communautés religieuses.
Pensons aux costumes des communautés féminines qui subissent bien des changements et, pour les hommes, la fin du port de la soutane.
Les Clercs de Saint-Viateur n’échappent pas au vent de changement engendré par les Pères de l’Église.
L’anecdote suivant se déroule avant le concile. Pour bien comprendre le tout, il faut revoir nos constitutions et replacer l’événement dans la mentalité de l’époque.
Le Centre Saint-Pierre existe depuis plus de 44 ans. Le Centre poursuit l’héritage de l’œuvre des Oblats de Marie-Immaculée.
La mission : développer le tissu communautaire du quartier Centre-Sud et offrir des sessions pour toute personne soucieuse de la justice sociale.
L’année 2017 marque le 150e de la fondation de l’archidiocèse de Rimouski.
Les 27 et 28 mai furent consacrés aux rassemblements et à la messe solennelle d’action de grâce. La fête fut belle. Une organisation bien rodée. Un travail d’équipe responsable et efficace.
Qui vit de Dieu choisit d’aimer. Et un cœur décidé à aimer peut rayonner avec bonté sans limites. Pour qui cherche à aimer dans la confiance, la vie s’emplit d’une beauté sereine.
Qui choisit d’aimer et de le dire par sa vie est amené à s’interroger sur l’une des questions les plus fortes qui soient : comment soulager les peines et les tourments de ceux qui sont proches ou lointains?
Notre confrère Marcel Ste-Marie (1928-1986), ses deux sœurs et ses cinq frères ont célébré en 1976 les noces d’or de leurs parents, Alexandrine Guertin et Roch Ste-Marie.
Quel cadeau leur offrir? Ils optèrent pour la création d’une Fondation pour aider financièrement à l’éducation de jeunes moins favorisés en pays de mission. Le missionnaire en Haïti Marcel sera le premier à voir les fruits de cette initiative.
Durant la soirée du 10 février 1959, à la ferme de la Maison Notre-Dame-des-Champs, dans le rang 4 de Sully, dans le comté de Témiscouata, se déroule un événement qui aurait pu avoir des conséquences bien tragiques.
En cette journée froide d’hiver, le feu se déclare dans la porcherie. Une fumée noire et épaisse se dégage de la bâtisse et frôle le Collège avant de se diriger vers le verger de pommes.
Nos frères ont été en tenue de service, certains plus longtemps que d’autres, dans des domaines variés, avec leurs richesses et leurs pauvretés, leurs succès et leurs échecs mais toujours animés par la passion de servir et la joie d’aimer.
Dieu est l’ami passionné des êtres passionnés. Il est heureux quand nous travaillons à sa vigne au prix de grands efforts et avec toute la volonté de notre cœur. Il est heureux quand nous nous donnons pour que son règne d’amour advienne.
