Au Burkina Faso, en Haïti et au Pérou, ce qui interpelle les Viateurs c’est le contexte de pauvreté, le faible niveau de l’instruction, le travail obligatoire des enfants, la marginalisation de la femme…
D’où la nécessité, pour eux, de transmettre un visage nouveau de l’Église : Église ouverte, accueillante, engagée dans la transformation du monde, à l’écoute des signes des temps, proche des plus humbles, avec une parole concrète et prophétique, en dialogue avec la culture…
Dans une lettre récente sur la Mission, le pape Jean-Paul II encourage l’activité missionnaire auprès de populations de cultures autres que chrétienne dont font partie le Japon et Taïwan.
Là, autant sinon plus qu’ailleurs, il faut travailler à l’engagement pour la paix, aux droits de l’homme, à la promotion de la femme et de l’enfant, à la sauvegarde de la création…
Depuis ses débuts, le Centre d’Éducommunication Saint-Viateur a effectué un travail important auprès de la jeunesse, dans leurs groupes et organisations.
Il s’est impliqué dans l’accompagnement des leaders et leur processus de formation en vue d’exercer leur rôle comme acteurs sociaux.
Il existe une décision institutionnelle et personnelle qui poursuit la promotion de sujets et d’acteurs sociaux.
Dans ce contexte, nous croyons que les JAN’S (jeunes, adolescents, enfants – garçons et filles) sont en condition d’assumer la citoyenneté comme engagement social, dépassant tout indice d’exclusion.
Sous la sonorité frappante de la cloche de la paroisse Saint François d’Assise de Grand-Goâve à laquelle elle est rattachée, l’Institution Saint François d’Assise (ISFAGG) prend cour normal.
Mais cette journée allait être spéciale car c’était le jour de l’ouverture des classes pour la nouvelle année académique 2014-2015.
Vivre sans être l’autre est une qualité à rechercher. (…) Cependant, nous nous laissons emporter trop souvent par l’autre et faisons de nous cet autre.
Nous enlevons en nous le sens de l’originalité. Nous ne faisons qu’imiter. (…) Pour arriver à dépasser ce stade, il nous faut nous regarder avec des yeux consciencieux et vrais.
La pastorale dans une école, pour les viateurs, compte beaucoup. Et, depuis plusieurs années, les écoles viatoriennes des Gonaïves bénéficient de la présence d’un responsable de pastorale.
Cette année le thème est : « Soyez sel de la terre et lumière du monde ».
Bonjour, Frère Lucien.
Vous êtes sur le point de laisser définitivement le pays après 22 ans de service.
Pouvez-vous nous partager vos sentiments alors que vous allez laisser Haïti ?
Une immense joie m’habite au terme de notre assemblée pour rendre grâce au Seigneur en célébrant ensemble dans la joie cette eucharistie au cours de laquelle les postulants Nicolas-Thieny Kénou, Alain Cyrille Ouédraogo et Fulbert Bamazé seront reçus officiellement comme novices dans notre Congrégation. L’acte que vous allez poser sous nos regards, mes frères…
Depuis mon arrivée en Haïti, au mois de mars dernier, j’ai commencé à travailler en étroite collaboration avec l’équipe de lancement dont le frère Joseph Soirélus fut le président pour la grande ouverture du CESAVI. En septembre dernier, nous avons accueilli une soixantaine d’élèves du préscolaire jusqu’à la 8e année fondamentale. Les parents, les élèves et les enseignant(e)s sont contents que les CSV…
La vie est un combat qu’il faut mener avec beaucoup de courage. La douleur est ce qui me rend plus humain.
Dans notre vie de tous les jours, on a besoin de la présence de l’autre pour nous épauler, nous aider et nous remonter le moral.
Nous avons tous l’Évangile de Jésus-Christ comme pôle! Mais ce qui est propre vient de ce qui nous rejoint au cœur de nos engagements, de notre identité et de ce qui nous motive pour être présents comme « communauté viatorienne » au milieu des défis qui se présentent à la communauté humaine là où nous vivons pour y apporter des réponses et surtout une espérance.
